Levés très tôt le matin pour prendre un petit bateau et aller observer les coulées de lave arrivant dans l'océan depuis la mer, avant le lever du soleil.
L'eau à proximité des coulées est paraît-il à 60°C (la lave elle-même peut atteindre 1'200°C), mais je n'ai pas mis la main pour vérifier...
La mer était un peu agitée, et le fracas des vagues contre le rivage se mélangeait à la musique hawaïenne diffusée par la radio du pilote, dans un contraste un peu surréaliste.
C'est sur cette série de photos que je suis particulièrement heureux d'avoir opté pour le mode manuel de mon appareil reflex, qui m'a permis d'obtenir des contrastes plus forts et plus intéressants que ce que n'aurait donné (je pense) le mode automatique.
L'eau à proximité des coulées est paraît-il à 60°C (la lave elle-même peut atteindre 1'200°C), mais je n'ai pas mis la main pour vérifier...
La mer était un peu agitée, et le fracas des vagues contre le rivage se mélangeait à la musique hawaïenne diffusée par la radio du pilote, dans un contraste un peu surréaliste.
C'est sur cette série de photos que je suis particulièrement heureux d'avoir opté pour le mode manuel de mon appareil reflex, qui m'a permis d'obtenir des contrastes plus forts et plus intéressants que ce que n'aurait donné (je pense) le mode automatique.
Un vol de quarante minutes environ. Notre guide avait négocié avec la pilote pour faire retirer les portes de l'appareil, ce qui nous offrait de bien meilleures conditions pour prendre des photos.
En une nuit, le niveau du lac de lave d'Halema'uma'u, très élevé depuis notre arrivée, est descendu de 20 mètres. Pour notre guide, cela veut dire qu'un bouchon dans un canal souterrain, qui empêchait la lave de s'évacuer, vient de céder. Et surtout, cela veut dire qu'il y a de fortes chances pour que cette lave se soit répandue quelque part en contrebas, sur le flanc du volcan. Nous partons donc de nuit, dans l'espoir de pouvoir observer ces coulées.
Au terme de quelques heures de marche nocturne sur un champ de roches basaltiques (très abrasives ! Port de gants épais fortement recommandé, car en cas de chute vous êtes certain de vous trancher la main), nous avons trouvé notre Eldorado.
Au terme de quelques heures de marche nocturne sur un champ de roches basaltiques (très abrasives ! Port de gants épais fortement recommandé, car en cas de chute vous êtes certain de vous trancher la main), nous avons trouvé notre Eldorado.
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