En haut à droite de l'image, on voit la lueur lointaine des coulées de lave qui se jettent dans l'océan (et la vapeur qui en résulte).
Pour l'anecdote technique, cette image est composée à partir de deux photos distinctes (dont la précédente). Je n'avais pas réalisé par moi-même qu'il était possible de les assembler ainsi, et c'est Google Photos (qui s'amuse parfois à recomposer des paysages à partir de diverses photos qu'on lui confie) qui m'en a fait prendre conscience. (Il n'a pas utilisé exactement les mêmes images, cela dit, et son résultat était un peu moins bon. :) )
Les deux photos n'étant pas alignées (du tout), j'ai dû ajouter un peu de remplissage "intelligent" grâce à Photoshop (au bas au centre). Mais comme ça se trouve dans des zones sombres uniquement, on ne voit quasiment rien.
Le résultat est une de mes photos préférées de toute cette galerie. (C'est juste dommage que les personnages soient un peu flous, mais bon, exposition longue oblige...)
Pour l'anecdote technique, cette image est composée à partir de deux photos distinctes (dont la précédente). Je n'avais pas réalisé par moi-même qu'il était possible de les assembler ainsi, et c'est Google Photos (qui s'amuse parfois à recomposer des paysages à partir de diverses photos qu'on lui confie) qui m'en a fait prendre conscience. (Il n'a pas utilisé exactement les mêmes images, cela dit, et son résultat était un peu moins bon. :) )
Les deux photos n'étant pas alignées (du tout), j'ai dû ajouter un peu de remplissage "intelligent" grâce à Photoshop (au bas au centre). Mais comme ça se trouve dans des zones sombres uniquement, on ne voit quasiment rien.
Le résultat est une de mes photos préférées de toute cette galerie. (C'est juste dommage que les personnages soient un peu flous, mais bon, exposition longue oblige...)
En une nuit, le niveau du lac de lave d'Halema'uma'u, très élevé depuis notre arrivée, est descendu de 20 mètres. Pour notre guide, cela veut dire qu'un bouchon dans un canal souterrain, qui empêchait la lave de s'évacuer, vient de céder. Et surtout, cela veut dire qu'il y a de fortes chances pour que cette lave se soit répandue quelque part en contrebas, sur le flanc du volcan. Nous partons donc de nuit, dans l'espoir de pouvoir observer ces coulées.
Au terme de quelques heures de marche nocturne sur un champ de roches basaltiques (très abrasives ! Port de gants épais fortement recommandé, car en cas de chute vous êtes certain de vous trancher la main), nous avons trouvé notre Eldorado.
Au terme de quelques heures de marche nocturne sur un champ de roches basaltiques (très abrasives ! Port de gants épais fortement recommandé, car en cas de chute vous êtes certain de vous trancher la main), nous avons trouvé notre Eldorado.
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