Sur le chemin du retour, on croise à nouveau cet autre point où la lave rejoint l'océan (mais les fumées bloquent le spectacle).
Et aussi sur le chemin du retour, j'ai eu la chance de voir un poisson volant (?), qui a sauté et s'est maintenu en l'air dans un mouvement parallèle au bateau, juste devant mes yeux, durant quelques secondes (évidemment trop brièvement pour que je le prenne en photo).
Et aussi sur le chemin du retour, j'ai eu la chance de voir un poisson volant (?), qui a sauté et s'est maintenu en l'air dans un mouvement parallèle au bateau, juste devant mes yeux, durant quelques secondes (évidemment trop brièvement pour que je le prenne en photo).
Levés très tôt le matin pour prendre un petit bateau et aller observer les coulées de lave arrivant dans l'océan depuis la mer, avant le lever du soleil.
L'eau à proximité des coulées est paraît-il à 60°C (la lave elle-même peut atteindre 1'200°C), mais je n'ai pas mis la main pour vérifier...
La mer était un peu agitée, et le fracas des vagues contre le rivage se mélangeait à la musique hawaïenne diffusée par la radio du pilote, dans un contraste un peu surréaliste.
C'est sur cette série de photos que je suis particulièrement heureux d'avoir opté pour le mode manuel de mon appareil reflex, qui m'a permis d'obtenir des contrastes plus forts et plus intéressants que ce que n'aurait donné (je pense) le mode automatique.
L'eau à proximité des coulées est paraît-il à 60°C (la lave elle-même peut atteindre 1'200°C), mais je n'ai pas mis la main pour vérifier...
La mer était un peu agitée, et le fracas des vagues contre le rivage se mélangeait à la musique hawaïenne diffusée par la radio du pilote, dans un contraste un peu surréaliste.
C'est sur cette série de photos que je suis particulièrement heureux d'avoir opté pour le mode manuel de mon appareil reflex, qui m'a permis d'obtenir des contrastes plus forts et plus intéressants que ce que n'aurait donné (je pense) le mode automatique.
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