L'animation japonaise est un domaine qui me passionnait il y a quelques années. Aujourd'hui je m'en suis quelque peu lassé et je ne m'y intéresse plus que de loin, mais de temps en temps, il m'arrive encore de tomber sur de véritables perles. Il y a deux ans, c'était l'excellente série Paranoia Agent, dont il faudra bien que je parle dans un prochain billet (en attendant si vous êtes curieux, vous pouvez voir le génial générique d'ouverture ici). Actuellement, une nouvelle série a su me faire craquer : elle s'appelle Mushishi.
cinéma
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de Peter Weir,
USA, 1998
Première version d'un article que j'ai écrit pour la brochure du Ciné-Club de l'Université de Genève, dans le cadre d'un cycle consacré au thème de l'Utopie. Le cycle se déroulera entre octobre et décembre 2005, et la brochure n'est pas encore parue. La version finale de mon article ne devant pas excéder 6'000 caractères, elle sera sensiblement plus courte, mais restera très semblable sur le fond.
de Adrian Lyne
USA, 1990
C'est l'histoire d'un jeune vétéran du Viet-Nam, Jacob Singer (magnifiquement interprété par Tim Robbins), qui travaille comme postier à New York. Et qui commence à avoir des visions cauchemardesques. Il semble voir des démons rôder autour de lui, tandis que son jeune fils décédé, Gabe, revient lui rendre visite. Parallèlement, des visions de la guerre viennent le hanter. Il y a eu une attaque, dans la jungle... Une mission qui a terriblement mal tourné. Que s'est-il passé ce jour-là ? Et pourquoi les compagnons d'arme de Jacob partagent-ils les mêmes symptômes que lui ?
Film injustement méconnu (n'ayons pas peur des mots : scandaleusement méconnu), que j'ai découvert récemment un peu par hasard (quelqu'un y faisait allusion sur IMDB, ça a éveillé ma curiosité), L'Échelle de Jacob fait à mon avis partie des plus grands films du cinéma fantastique. Le long texte qui suit est le fruit de réflexions suscitées par le film bien sûr, mais aussi par l'article consacré par Mad Movies à ce film (et que l'on peut lire sur leur site web) et par les commentaires de certains lecteurs dudit article.
La suite de mon texte révèle et commente largement la fin du film, et cette lecture est fortement déconseillée à tous ceux qui n'ont pas (encore) vu le film. Croyez-moi, il mérite franchement le détour, mérite qu'on l'approche sans attentes particulières et qu'on se fasse sa propre opinion en le voyant. Revenez quand vous l'aurez vu. ;-)
Le texte qui suit est une sorte de synthèse personnelle au sujet de la trilogie Matrix. Synthèse entre des idées personnelles et des idées glanées ici et là, au fil de discussions ou de lectures. Je ne veux donc pas donner l'impression de revendiquer l'originalité tout ce que vous allez lire dans les pages qui suivent, mais j'ai essayé de rassembler un maximum d'idées (qui me semblaient pertinentes) en un tout cohérent, afin de donner un certain éclairage sur cette oeuvre très riche.
Je viens de voir ce film, et j'ai besoin d'évacuer ça.
Je n'ai pas trop aimé, non.
First, emotions organize — rather than disrupt — rational thinking. Traditionally, in the history of Western thought, the prevailing view has been that emotions are enemies of rationality and disruptive of cooperative social relations.
Beau texte sur la représentation du handicap dans Mad Max: Fury Road.
I am turning 30 years old next week. I’ve been a fan of action film my entire life. And I have NEVER seen a physically disabled, kickass, female lead character in a Hollywood movie EVER – not once, until yesterday.
de Joe Johnston
USA, 2010
de Michael Bay
USA, 2007
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